Une équipe scientifique de l'Université d' Oxford a mené une étude sur 16 000 femmes. Il en ressort que celles avec des fesses plus rebondies seraient en meilleure santé et plus intelligentes que les autres plus minces. Mais est-ce que tout cela va bousculer nos standards de beauté ? Pas si sûr. Explications.Les résultats de cette étude relayée par ABC News montre que les femmes aux postérieurs les plus gros ont un niveau de cholestérol plus bas, métabolisent mieux le sucre et sont donc moins sujettes au diabète ou aux problèmes de cardiaques. Un fessier généreux serait également synonyme d'excès d'oméga 3, qui ont un rôle majeur dans le processus de développement cérébral. Les chercheurs ont aussi tracé un parallèle avec la descendance de ces femmes : les enfants nés d'une mère aux hanches plus larges seraient intellectuellement supérieurs à ceux nés d'une femme plus svelte. Tout cela nous paraît bien bien douteux...Cet étrange raccourci sur la proportionnalité tailles des fesses/taille du cerveau à tout de même le don de nous faire sourire, en reconsidérant pas mal de choses. Par exemple, imaginer tout d'un coup que la sublime Vénus Callipyge de Brassens a été écrite comme une ode à l'intellect de l'une de ses muses. Ou bien que lorsque nous nous sommes trémoussé(e)s sur le fameux "I like big butts and I cannot lie" de Sir Mix-A-Lot, nous célébrions en fait la matière grise en même temps que les adipocytes.Ceci dit cette théorie nous aiderait à mieux comprendre comment et surtout pourquoi Kim Kardashian s'est retrouvée avec son mari Kanye West à donner un cours aux étudiants dans une salle de la prestigieuse université de Harvard... Ou pas, puisque l'étude n'a pas pris en compte les femmes ayant eu recours à la chirurgie esthétique.
source: yahoo.fr