Comment Fast and Furious a non seulement su traverser les années 2000, mais en plus ressusciter pour faire exploser les scores du box office ? Et si la réponse remontait aux origines du cinéma ? Révise tes classiques strikes again !
A première vue, Fast and Furious avait tout pour rester, ou devenir, une série de niche destinée aux amateurs de carrosseries rutilantes. A moins de fréquenter, le dimanche après-midi, les parkings d'hypermarché, on avait toutes les raisons de croire que le film star du tuning finirait par mourir devant le matérialisme triomphant, et un peu aberrant, d'un troisième épisode (Tokyo Drift) qui poussait loin le bouchon du film machiste et crétin. Pourtant, non, Fast and Furious s'est régénéré jusqu'à faire sauter la banque avec le non négligeable Fast Five. Du coup, et n'en déplaise à ses nombreux détracteurs, la série est désormais attendue (l'épisode 6 arrive en juin) et son acteur star, Vin Diesel, rapidement parti vers des cieux plus fréquentable (comme ceux du cinéaste seventies Sidney Lumet), est revenu rejouer de la pédale. La raison de ce succès est-elle juste une affaire de mauvais goût populaire ? Et si, plutôt, finalement, Fast and Furious ne datait pas d'hier et devait tout (ou presque) à un film de 1903, Le Vol du grand rapide, souvent considéré comme le pionnier du western ? Rien de tel qu'un classique pour vous rendre intemporel. Vroum vroum
Que sont les héros de Fast and Furious sinon les héritiers du western ? Chacun sait que dans la culture américaine la voiture est un symbole de liberté. Lorsque les cow-boys rendirent leurs costumes à Hollywood, vers la fin des années 60, leurs montures furent vite remplacées par des engins motorisés pour inventer ce que sera le road movie. Easy Rider, Point Limite Zéro, Macadam à deux voies, Death Race, et même l'australien Mad Max, la voiture ou la moto y ont remplacé le cheval et toute une imagerie historique. Plus opportuniste avec...
source: Yahoo.fr
A première vue, Fast and Furious avait tout pour rester, ou devenir, une série de niche destinée aux amateurs de carrosseries rutilantes. A moins de fréquenter, le dimanche après-midi, les parkings d'hypermarché, on avait toutes les raisons de croire que le film star du tuning finirait par mourir devant le matérialisme triomphant, et un peu aberrant, d'un troisième épisode (Tokyo Drift) qui poussait loin le bouchon du film machiste et crétin. Pourtant, non, Fast and Furious s'est régénéré jusqu'à faire sauter la banque avec le non négligeable Fast Five. Du coup, et n'en déplaise à ses nombreux détracteurs, la série est désormais attendue (l'épisode 6 arrive en juin) et son acteur star, Vin Diesel, rapidement parti vers des cieux plus fréquentable (comme ceux du cinéaste seventies Sidney Lumet), est revenu rejouer de la pédale. La raison de ce succès est-elle juste une affaire de mauvais goût populaire ? Et si, plutôt, finalement, Fast and Furious ne datait pas d'hier et devait tout (ou presque) à un film de 1903, Le Vol du grand rapide, souvent considéré comme le pionnier du western ? Rien de tel qu'un classique pour vous rendre intemporel. Vroum vroum
Que sont les héros de Fast and Furious sinon les héritiers du western ? Chacun sait que dans la culture américaine la voiture est un symbole de liberté. Lorsque les cow-boys rendirent leurs costumes à Hollywood, vers la fin des années 60, leurs montures furent vite remplacées par des engins motorisés pour inventer ce que sera le road movie. Easy Rider, Point Limite Zéro, Macadam à deux voies, Death Race, et même l'australien Mad Max, la voiture ou la moto y ont remplacé le cheval et toute une imagerie historique. Plus opportuniste avec...
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