A 45 ans, Pamela Anderson entre au rang de mythe et parvient à faire des émules, autant voire plus qu'à l'époque de Playboy et d'Alerte à Malibu. Cette fois, c'est à cause d'une publicité que l'actrice se retrouve au coeur d'une controverse. Si son sex-appeal émoustille beaucoup d'hommes, il est inefficace sur l'autorité de régulation de la publicité en Grande-Bretagne.
L'ASA (Advertising Standards Authority) vient d'interdire la diffusion d'une pub dans laquelle Pamela Anderson use de ses charmes. Dans la vidéo d'une minute 30 produite par l'agence australienne The Brand Agency pour le serveur d'hébergement web Crazy Domains, la plus célèbre bimbo se mue en chef d'entreprise source de fantasme d'un de ses employés. En pleine réunion, ce dernier l'imagine en bikini et en slow motion avec son assistante, s'aspergeant de crème. Le clip sorti en 2010 fait désormais l'objet d'une censure de la part de l'ASA qui le juge "sexiste et dégradant à l'égard des femmes".
Pour se justifier, l'Advertising Stardards Autorithy a relevé plusieurs petits détails, outre la séquence au ralenti : durant la réunion, Pamela Anderson et son assistante échangent des regards aguicheurs, adoptent une voix sexy et portent des chemises déboutonnées, révélant légèrement leurs soutiens-gorge. Des images suffisantes selon la commission de régulation pour bloquer la diffusion de la vidéo qui n'était jusque là diffusée qu'à partir de 21 heures.
Crazy Domains n'en est pas à son premier coup sulfureux ! En 2012, l'entreprise australienne s'était associée à l'acteur de films X Ron Jeremy pour l'organisation d'une Sexpo. Absente de l'événement, Pamela Anderson, surprise à la mi-avril l'International Beauty Show à New York, profite tout de même d'un joli coup de projecteur !
L'ASA (Advertising Standards Authority) vient d'interdire la diffusion d'une pub dans laquelle Pamela Anderson use de ses charmes. Dans la vidéo d'une minute 30 produite par l'agence australienne The Brand Agency pour le serveur d'hébergement web Crazy Domains, la plus célèbre bimbo se mue en chef d'entreprise source de fantasme d'un de ses employés. En pleine réunion, ce dernier l'imagine en bikini et en slow motion avec son assistante, s'aspergeant de crème. Le clip sorti en 2010 fait désormais l'objet d'une censure de la part de l'ASA qui le juge "sexiste et dégradant à l'égard des femmes".
Pour se justifier, l'Advertising Stardards Autorithy a relevé plusieurs petits détails, outre la séquence au ralenti : durant la réunion, Pamela Anderson et son assistante échangent des regards aguicheurs, adoptent une voix sexy et portent des chemises déboutonnées, révélant légèrement leurs soutiens-gorge. Des images suffisantes selon la commission de régulation pour bloquer la diffusion de la vidéo qui n'était jusque là diffusée qu'à partir de 21 heures.
Crazy Domains n'en est pas à son premier coup sulfureux ! En 2012, l'entreprise australienne s'était associée à l'acteur de films X Ron Jeremy pour l'organisation d'une Sexpo. Absente de l'événement, Pamela Anderson, surprise à la mi-avril l'International Beauty Show à New York, profite tout de même d'un joli coup de projecteur !
source:Yahoo.fr