C'est en sa qualité de journaliste, première dame et mère de famille, que Valérie Trierweiler a retroussé ses manches vendredi en signe de solidarité avec deux journalistes retenus en Syrie. Devant l'Hôtel de Ville de Paris, la compagne du chef d'Etat a rejoint le comité de soutien de Didier François et Edouard Elias, grand reporter et photographe pour Europe 1, enlevés le 6 juin dernier sur la route d'Alep.
"Comme journaliste, je pense à mes confrères, et comme première dame je pense à nos concitoyens. Et puis comme mère, je pense plus à Edouard Elias, qui a l'âge de mes fils. Je voulais juste marquer ma solidarité". C'est ainsi que Valérie Trierweiler - ancienne journaliste de Paris Match - a souhaité rendre hommage à ses confrères Didier François et Edouard Elias, retenus depuis 3 mois en Syrie "par un groupe qui se réclame de la résistance", selon Serge July, coprésident de leur comité de soutien. Elle était ce vendredi sur le parvis de l'Hôtel de Ville, à Paris, pour une manifestation.
Sur sa veste noire, la première dame avait accroché un petit autocollant avec les visages des deux journalistes otages. Autour d'elle, d'autres personnalités avaient fait le déplacement, notamment Denis Olivennes, patron d'Europe 1. Le comité de soutien, présidé par Florence Aubenas, Karen Lajon, Serge July et Reporters sans frontières a expliqué dans sa pétition: "Nous, membres du comité de soutien, journalistes, amis, citoyens épris de liberté, appelons à la libération des deux journalistes portés disparus en Syrie depuis le 6 juin 2013". Une équipe de presse qui devait "rapporter au public la réalité d’une tragédie quotidienne".… source : yahoo.fr
"Comme journaliste, je pense à mes confrères, et comme première dame je pense à nos concitoyens. Et puis comme mère, je pense plus à Edouard Elias, qui a l'âge de mes fils. Je voulais juste marquer ma solidarité". C'est ainsi que Valérie Trierweiler - ancienne journaliste de Paris Match - a souhaité rendre hommage à ses confrères Didier François et Edouard Elias, retenus depuis 3 mois en Syrie "par un groupe qui se réclame de la résistance", selon Serge July, coprésident de leur comité de soutien. Elle était ce vendredi sur le parvis de l'Hôtel de Ville, à Paris, pour une manifestation.
Sur sa veste noire, la première dame avait accroché un petit autocollant avec les visages des deux journalistes otages. Autour d'elle, d'autres personnalités avaient fait le déplacement, notamment Denis Olivennes, patron d'Europe 1. Le comité de soutien, présidé par Florence Aubenas, Karen Lajon, Serge July et Reporters sans frontières a expliqué dans sa pétition: "Nous, membres du comité de soutien, journalistes, amis, citoyens épris de liberté, appelons à la libération des deux journalistes portés disparus en Syrie depuis le 6 juin 2013". Une équipe de presse qui devait "rapporter au public la réalité d’une tragédie quotidienne".… source : yahoo.fr