Arrêter de consommer du sexe mais prendre le temps d'apprécier. Tel est le credo du "slow sexe". Le phénomène venu d'Italie nous interroge : doit-on revoir nos habitudes au lit ?
Les joies du Slow sexe
Slow sexe : plus lentement c'est mieux ?
Sans aller jusqu'à se convertir en "slow sexe coach", le mouvement du slow sexe pose de vraies questions : Faut-il repenser sa façon de voir l'acte sexuel et surtout de le pratiquer ? A-t-on trop tendance à se précipiter et à privilégier la fin (jouir) plutôt que les moyens ?
Les joies du Slow sexe
Vous avez sans doute entendu parler du slow food, ce mouvement qui prône une alimentation "bonne, propre et juste" en opposition au fast-food. Voici le" slow sexe", nouvel avatar de la "slow attitude". Conceptualisé en 2002 par l'Italien Alberto Vitale, auteur de l'Eloge de la lenteur, le slow sexe prône la "décélération érotique". Comprendre : l'art de prendre son temps pendant le rapport sexuel. Là où la société valorise la course à la performance, au boulot comme au lit, les disciples du slow sexe préconisent de ralentir pendant les rapports amoureux pour (vraiment) prendre son pied.
Slow sexe : plus lentement c'est mieux ?
Pour vos oreilles de Françaises, le slow sexe sonnera probablement faux. Vous vous direz que cela relève plus d'une lubie que d'une philosophie. Détrompez-vous ! Aux Etats-Unis, l'affaire est tellement prise au sérieux qu'un centre a été créé en Californie pour former des novices à prêcher ses principes.
Sans aller jusqu'à se convertir en "slow sexe coach", le mouvement du slow sexe pose de vraies questions : Faut-il repenser sa façon de voir l'acte sexuel et surtout de le pratiquer ? A-t-on trop tendance à se précipiter et à privilégier la fin (jouir) plutôt que les moyens ?
source: Yahoo.fr
