Parité ou pas, les différences du genre sont bien là quand il s'agit de maîtriser notre fonction de reproduction. Il y a un petit peu plus d'un demi-siècle que l'on a compris comment faire, chimiquement, pour ce qui est de la fonction féminine. Pour la masculine, on tâtonne toujours. Et l'impuissance en la matière risque fort de perdurer.
Ce qui n'empêche pas les chercheurs spécialisés de faire, à échéance régulière, des annonces aux accents triomphalistes. Parce qu'il est prouvé qu'une bonne médiatisation permet parfois d'obtenir de nouveaux crédits; surtout quand le soleil noir de la récession économique fait fondre les crédits de la recherche qui ne trouve pas.
Question contraception masculine, la dernière nouvelle de taille date de l'Assomption. Elle provient du Dana-Farber Cancer Institute de Boston et elle est publiée dans la revue Cell par une équipe dirigée par Martin M. Matzuk et James E. Bradner. Peu auparavant, on avait vanté les mérites expérimentaux d'un gel hormonal contraceptif.
source: Yahoo.fr