Michael Mevorach a imaginé les conséquences d'une panne de rasoir au beau milieu d'un rasage de moustache façon Hitler, juste avant un rendez-vous galant. Désopilant.
Qu'elle soit fine, épaisse, en guidon ou en croc, c'est fou comment une moustache peut changer un visage. Par sa présence, sa forme, voire son absence, ce petit amas de poil peut même bouleverser une vie. C'était le point de départ de La Moustache, angoissant film d'Emmanuel Carrère adapté de son propre roman, dans lequel personne ne remarquait que Vincent Lindon s'était rasé pour la première fois depuis des années - y compris sa compagne Emmanuelle Devos.
Dans un court-métrage intitulé "The Mustache", Michael Mevorach brode lui-aussi autour de ce thème existentialo-pileux. Le réalisateur israélien filme en effet un homme devant sa glace, en train de se raser la barbe. A mesure que le duvet brun perd en volume, son visage change. Différents types de moustaches apparaissent. L'homme s'en amuse, imitant tour à tour Wolverine, un danseur de rumba cubaine et Adolf Hitler. Problème : alors que sa copine l'attend à un café, sa tondeuse s'éteint brusquement, figeant le personnage dans un embarrassant look de nazi.
Cheap mais amusant, le court-métrage se clôt sur une astucieuse chute cinéphile.source:yahoo.fr
Qu'elle soit fine, épaisse, en guidon ou en croc, c'est fou comment une moustache peut changer un visage. Par sa présence, sa forme, voire son absence, ce petit amas de poil peut même bouleverser une vie. C'était le point de départ de La Moustache, angoissant film d'Emmanuel Carrère adapté de son propre roman, dans lequel personne ne remarquait que Vincent Lindon s'était rasé pour la première fois depuis des années - y compris sa compagne Emmanuelle Devos.
Dans un court-métrage intitulé "The Mustache", Michael Mevorach brode lui-aussi autour de ce thème existentialo-pileux. Le réalisateur israélien filme en effet un homme devant sa glace, en train de se raser la barbe. A mesure que le duvet brun perd en volume, son visage change. Différents types de moustaches apparaissent. L'homme s'en amuse, imitant tour à tour Wolverine, un danseur de rumba cubaine et Adolf Hitler. Problème : alors que sa copine l'attend à un café, sa tondeuse s'éteint brusquement, figeant le personnage dans un embarrassant look de nazi.
Cheap mais amusant, le court-métrage se clôt sur une astucieuse chute cinéphile.source:yahoo.fr