La chanteuse vient de sortir Applause, le premier extrait d’Artpop, son nouvel album qui paraîtra en novembre. A cette occasion, elle a accordé une longue interview au magazine Elle américain. Entretien sans détour au cours duquel elle revient sur son mal-être, dont elle souffre depuis l’adolescence : "Je suis – Stefani (ndlr : son vrai prénom) est – une artiste perpétuellement torturée. C'est pour ça que j'ai changé mon nom. Je ne peux pas être elle en public, ce serait une catastrophe !"
Elle raconte : "Tout le monde est tellement cynique. Je ne peux pas dire que j'aime mes fans ou raconter une histoire appartenant à mon passé sans qu'on me demande si j'ai vraiment, réellement souffert (…) Vous savez tout ce que je me suis pris au visage ? Vous savez le nombre de gens qui n'ont pas respecté mon corps, mon esprit, mon cœur ?"
Ces remarques dont elle a été victime il y a quelques années ont visiblement forgé son caractère. Aujourd’hui, Gaga n’a plus peur de rien ni de personne et elle l’affirme d’ailleurs haut et fort dans les pages de Elle : "Je suis une battante, je sais gérer la pression. Je suis comme Rocky, après le 12ème round".
Alors même si son premier single a effectué un faible démarrage à sa sortie, Lady Gaga ne va pas se laisser abattre, nous voilà prévenus !
Elle raconte : "Tout le monde est tellement cynique. Je ne peux pas dire que j'aime mes fans ou raconter une histoire appartenant à mon passé sans qu'on me demande si j'ai vraiment, réellement souffert (…) Vous savez tout ce que je me suis pris au visage ? Vous savez le nombre de gens qui n'ont pas respecté mon corps, mon esprit, mon cœur ?"
Ces remarques dont elle a été victime il y a quelques années ont visiblement forgé son caractère. Aujourd’hui, Gaga n’a plus peur de rien ni de personne et elle l’affirme d’ailleurs haut et fort dans les pages de Elle : "Je suis une battante, je sais gérer la pression. Je suis comme Rocky, après le 12ème round".
Alors même si son premier single a effectué un faible démarrage à sa sortie, Lady Gaga ne va pas se laisser abattre, nous voilà prévenus !