Il préfère tasser son nom dans l'oubli. Appelez-le tout simplement "Mule", son nom d'emprunt. Il a 65 ans et cela fait déjà 29 ans qu'il vagabonde seul à travers les Etats américains. Trois mules sont depuis venues l'épauler dans son épopée, pour regarder les Hommes et leur monde changer. En marge, sans attaches, il jette un oeil poétique et profond sur ce développement qu'il avait appris à oublier.
Si vous lui demandez son nom, il vous répondra qu'il s'appelle "Mule". Cela fait maintenant de longues années qu'il vit en marge du monde développé et ses 65 ans n'ont toujours pas réussi à l'essouffler. Il est allé là où nous n'étions pas et a décidé de prendre le temps et le recul nécessaire pour parler du monde, en souligner les paradoxes, s'étonner de l'incompréhensible.
Depuis 29 ans, il vagabonde seul le long des terres encore inexploitées et abandonnées des Etats-Unis. Épaulé par trois mules depuis une dizaine d'années, il a vu les paysages se dénaturer, la notion de liberté se transformer, la justice se complexifier... Jusqu'à ce qu'un choc brutal le pousse à mettre un terme à son exil perpétuel.
"Nous ne sommes pas sans-abris. Cette Terre est notre maison"
Durant près de 30 ans, Mule a vécu un train de vie surréaliste de vagabond solitaire et parcourait les contrées inhabitées de l'Ouest. Ces pérégrinations se déroulaient l'été, avant qu'il ne doive "endurer des jobs merdiques" pendant l'hiver, afin de s'offrir les moyens de sa survie pour le reste de l'année. Il marchait loin de tout, dormait à la belle étoile et se contentait de quelques escales mensuelles en ville pour s'approvisionner en nourriture qu'il chargeait sur ses mules. A chaque fois qu'il revenait sur ses pas pour se diriger vers la civilisation, sa surprise grandissait. source: yahoo.fr
Si vous lui demandez son nom, il vous répondra qu'il s'appelle "Mule". Cela fait maintenant de longues années qu'il vit en marge du monde développé et ses 65 ans n'ont toujours pas réussi à l'essouffler. Il est allé là où nous n'étions pas et a décidé de prendre le temps et le recul nécessaire pour parler du monde, en souligner les paradoxes, s'étonner de l'incompréhensible.
Depuis 29 ans, il vagabonde seul le long des terres encore inexploitées et abandonnées des Etats-Unis. Épaulé par trois mules depuis une dizaine d'années, il a vu les paysages se dénaturer, la notion de liberté se transformer, la justice se complexifier... Jusqu'à ce qu'un choc brutal le pousse à mettre un terme à son exil perpétuel.
"Nous ne sommes pas sans-abris. Cette Terre est notre maison"
Durant près de 30 ans, Mule a vécu un train de vie surréaliste de vagabond solitaire et parcourait les contrées inhabitées de l'Ouest. Ces pérégrinations se déroulaient l'été, avant qu'il ne doive "endurer des jobs merdiques" pendant l'hiver, afin de s'offrir les moyens de sa survie pour le reste de l'année. Il marchait loin de tout, dormait à la belle étoile et se contentait de quelques escales mensuelles en ville pour s'approvisionner en nourriture qu'il chargeait sur ses mules. A chaque fois qu'il revenait sur ses pas pour se diriger vers la civilisation, sa surprise grandissait. source: yahoo.fr