En 2011, une épidémie à Klebsiella pneumoniae a tué 10 patients – sur 17 infectés – en quelques semaines, dans un hôpital new yorkais. Sitôt les premiers cas signalés, les traditionnelles mesures de contrôle (isolement des patients, étude de la localisation des lits…) « n'ont fourni aucun indice sur la manière dont se propageait la bactérie », explique le Dr Tara Palmore des National Institutes of Health (NIH).
Une équipe de chercheurs dirigée par le Dr Evan Snitkin du National Human Genome Institute de Bethesda (Maryland), a tenté une approche innovante : le séquençage du génome entier de la bactérie. Laquelle a été prélevée sur chacun des patients.
source: Yahoo.fr