C’est un peu le serpent qui se mord la queue.
Il se rêvait en Leonardo DiCaprio français pour faire tomber les filles, mais Kev Adams ne parvient pas à construire une relation. La faute à… la célébrité. Lorsqu’il était adolescent, Kev Adams voulait devenir célèbre, jouer les séducteurs dans des longs-métrages pour faire craquer les filles. Car lui n’était que « le bon pote ou le petit frère, parce que vous êtes physiquement dégueulasse ». « Vous fantasmez que [les filles que vous trouvez mignonnes] fassent intérieurement “waouh !” en vous regardant, comme avec Leonardo. J’avais envie de “pécho”, d’être aimé, de lui rassembler », a-t-il confié dans une longue interview accordée à Paris Match. Et ça a marché : parmi ses 3,6 millions de fans sur Facebook et ses foollowers sur Twitter, au nombre d’1,3 million, il se cache de nombreuses jeunes filles qui rêvent de partager un jour la vie du comique.
Certaines ont d’ailleurs déjà eu cette chance : « Je ne m’interdis pas de le faire et j’avoue même que ça m’est déjà arrivé. Mais je ne peux pas être dans une forme de systématisme, ce n’est pas mon truc. » Comme ses amis du collège, il rêve d’une compagne avec qui ça pourrait durer, un peu, mais la célébrité complique tout.
« Je ne pense pas avoir la disponibilité pour construire une relation importante, a admis l’humoriste de 22 ans. Quelle fille va me dire : “T’es là combien de temps ce mois-ci ? Un jour ? Ah, super ! On va donc construire une belle relation, dis donc !”
À le croire, ce n’est pas beaucoup mieux que lorsqu’il était ado.
Quelle fille va me suivre partout, supporter un mec qui se fait draguer toute la journée, par tout le monde. C’est insupportable. »
source: yahoo.fr