Invitée de la nouvelle émission de Daphné
Bürki, « Tube », Enora Malagré est revenue sur son parcours professionnel.
Celle qui s’imagine bien finir tenancière de bar profite aujourd’hui d’une
période d’épanouissement qu’elle doit en partie à Cyril Hanouna, le « grand
frère » qui la « drive » et lui « donne de la force ». Car si Enora a fait ses
débuts grand public chez Cauet, elle raconte qu’elle n’y était pas aussi à
l’aise.
« Je ne suis restée qu’un an », explique la
chroniqueuse, car « c’était assez frustrant d’être numéro 2 ». La jeune femme a
beau avoir « beaucoup appris à ses côtés parce que c’est quelqu’un
d’extrêmement brillant en libre-antenne », elle a quand même beaucoup de mal
avec le fait d’être cadrée par un chef. « C’est pénible quand on te fait
“Chut”, “Non”. “Tu ne peux pas faire ce que ce que tu veux“ », détaille-t-elle.
La différence avec Cyril Hanouna, qui ne le fait que dans le « brouhaha
général, pas de manière personnelle », est flagrante.
D’autant plus que dans Touche pas à mon poste,
Enora n’a pas à faire des choses dont elle n’est « pas fière ». Car de «
C’Cauet », elle garde un mauvais souvenir de sa séquence, Enora teste la
fidélité, dont elle a « honte », d’autant plus qu’elle était un peu bidonnée. «
La moitié des jeunes qui appelaient, c’étaient des comédiens, il faut le savoir
», confesse Enora, qui confirme les résultats de l’enquête de l’UFC-Que Choisir
qui accusait Cauet de faire intervenir de faux auditeurs.
source: yahoo.fr