Ils les ont vénérées et elles le leur ont bien rendu. Ou comment la relation des candidats à la présidentielle à leur maman a forgé ces ambitions hors du commun.
Ils en parlent rarement, mais lorsqu’ils évoquent Dadu, Nicole, Jeanine, ou Emma, les candidats à la présidentielle, habitués à monter le son pour mieux se faire entendre, baissent la voix. Leur regard se voile, ou redevient enfantin. Lorsqu’il est question de leurs mamans, le masque tombe. Souvent.
Les hommes politiques décrivent alors une relation fusionnelle, qui leur a permis d’acquérir une vraie confiance en eux. «Ma mère, comme beaucoup de méditerranéennes, m’a apporté un soutien aveugle, un fonds inépuisable d’amour», nous confiait, il y a peu, Jean-Luc Mélenchon à propos de Jeanine. François Bayrou se souvient, lui, d’une Emma qui lui permettait de lire, même à table, car c’était son occupation favorite. Lorsque son fils attendait chaque soir, son retour du travail, refusant d’aller se coucher avant de l’avoir embrassée, Dadu Sarkozy n’avait pas le cœur de dissuader son petit Nicolas de veiller ainsi. Elle préférait plutôt le cajoler en lui rapportant du chocolat, son péché mignon, déjà. Dans Gala, récemment François Hollande rendait, lui aussi, hommage à la joie contagieuse de sa mère Nicole, qui organisait de fantastiques goûters: «C’était des moments très chaleureux. Elle cuisinait des tartes, des gâteaux au chocolat. ça sentait toujours bon.»
Les hommes politiques décrivent alors une relation fusionnelle, qui leur a permis d’acquérir une vraie confiance en eux. «Ma mère, comme beaucoup de méditerranéennes, m’a apporté un soutien aveugle, un fonds inépuisable d’amour», nous confiait, il y a peu, Jean-Luc Mélenchon à propos de Jeanine. François Bayrou se souvient, lui, d’une Emma qui lui permettait de lire, même à table, car c’était son occupation favorite. Lorsque son fils attendait chaque soir, son retour du travail, refusant d’aller se coucher avant de l’avoir embrassée, Dadu Sarkozy n’avait pas le cœur de dissuader son petit Nicolas de veiller ainsi. Elle préférait plutôt le cajoler en lui rapportant du chocolat, son péché mignon, déjà. Dans Gala, récemment François Hollande rendait, lui aussi, hommage à la joie contagieuse de sa mère Nicole, qui organisait de fantastiques goûters: «C’était des moments très chaleureux. Elle cuisinait des tartes, des gâteaux au chocolat. ça sentait toujours bon.»
source: Yahoo.fr