Comme le rappelle le Pr San Marco, « chez les personnes âgées, les capacités à lutter contre la chaleur sont altérées ». Sur un organisme affaibli, « les conséquences du ‘coup de chaleur' peuvent se faire ressentir 72 heures plus tard… et même bien après. En 2003, une traînée de surmortalité avait ainsi été constatée au cours des 6 mois suivants ». Au total, près de 15 000 décès avaient été recensés. Quant à la surmortalité liée la canicule de juillet 2006, elle avait été estimé à 2 000 décès.
source: Yahoo.fr